Rencontre bloguesque
Aujourd'hui, j'ai fait la connaissance "en vrai" de l'adorable Baïlili.
Nous avions rendez-vous au pied de l'hôtel de ville de Cambrai :
Bien qu'étant partie à l'heure de chez moi, je suis arrivée avec 10 bonnes minutes de retard à cause d'un rassemblement de motards aux portes de Bruxelles.
Après avoir échangé des petits cadeaux (un sac tricoté, quelques bricoleries, des spéculoos et la fameuse "Vinaigrette de Gabbel" de ma part et des saucisses de Morteau, de l'andouille de Guéméné, des crèmes Montblanc et des sublimissimes macarons de chez Fauchon de la part de Baïlili), nous sommes allées déjeuner dans une brasserie à deux pas de l'hôtel de ville.
Et nous avons longuement parlé. Ben oui, quand deux nanas se rencontrent.... elles se racontent des tas d'histoires de nanas. :-)
Alors, spécialement pour la Miss :
Voici l'Atomium : Le même, la nuit :
Le club d'Anderlecht rencontrera l'AC Milan en Champions League le 1er novembre prochain.
* * *
Un grand merci pour cette très chouette après-midi et pour les gourmandises (tu t'es fait un nouveau fan !).
Je vous embrasse très fort, toi et TaPuce.
Chaussettes à gogo !
Comme vous le savez, j'aime bien farfouiller dans tous les recoins de la toile à la recherche d'objets intéressants pour mes énigmes. Je passe aussi beaucoup de temps à lire des blogs et, en sautillant de l'un à l'autre, j'ai remarqué un certain engouement pour les chaussettes tricotées à la main. Que dis-je "engouement" ? C'est une véritable frénésie, une chaussettesmania à tous les étages !
Et là, je me demande si j'ai loupé un épisode, si je dormais quand les journaux ont annoncé une prochaine pénurie de chaussettes-déjà-faites dans les magasins. Ou est-ce que, tout à coup, le fait d'acheter des chaussettes en public est devenu sujet de honte ? Comme naguère quand on chuchotait pour demander une boîte de capotes chez le pharmacien.
Cette chaussettesmania s'est même emparée du monde de l'informatique, puisque l'on peut acheter des chaussettes pour ipods (39,99 $ ou 31,84 € pour 6, quand même !) si on n'est pas capable de les tricoter soi-même. Et, pour peu que l'on ne soit pas complètement manchot avec des aiguilles à tricoter (ce qui est plus ou moins mon cas), il doit y avoir moyen de se faire un peu de sous (je vais faire un prototype ce week-end et vous me direz de ce que vous en pensez).
Quant à moi, j'ai constaté hier que les mi-bas résilles noirs que j'ai achetés cet été (et que je ne peux donc plus rapporter au magasin) me font un mal de chien. Il faut avoir les mollets d'un Giacometti pour se sentir à l'aise là-dedans, ma parole !
Alors, si ça intéresse quelqu'un , faites-moi signe. J'en ai 4 paires (3 noires encore intactes et 1 marron déballée mais jamais portée) et je les donnerai volontiers à qui en voudra !
Humeur en chansons # 1
"Voglia d'autunno" par Andrea Gasparro
Plutôt que de vous expliquer en long et en large comment je me sens aujourd'hui, j'ai pensé à cette sublimissime chanson de Marie-Paule Belle :
Je veux pleurer comme Soraya (F.Mallet-Joris & M.Grisolia / M.P.Belle)
Quand on est pauvre et qu'on n'a rien
On n'a pas même son chagrin
C'est un chagrin sans importance
Sans grandeur et sans élégance
Ma peine a son horaire
Ma peine pointe à l'usine
Elle n'a pas de mystère
Comme dans les magazines
Je veux pleurer comme Soraya
Je veux pleurer comme une princesse
Je veux pleurer avec noblesse
Pas dans la soupe mais dans la soie
Je veux pleurer dans un décor
Un chagrin plus grand que ma vie
Un vrai chagrin qui fasse envie
Je veux pleurer comme Liz Taylor
Je veux pleurer comme Soraya
Je veux pleurer comme Soraya
Je veux m'offrir ça
Quand on n'en a pas les moyens
On n'profite pas de son chagrin
On n'a pas l'temps d'en faire le tour
Les pommes de terre brûlent dans le four
On n's'y habitue pas
Ça porte sur le foie
C'est d'la peine à deux sous
On n'en sent pas le goût
Je veux pleurer comme Soraya
Des larmes qu'on prend en photo
Pleurer sans rhume de cerveau
Des larmes qui n'défigurent pas
Je n'veux plus de chagrin à la gomme
De chagrin payable par traites
J'en veux d'un coup jusqu'à la r'traite
Je veux pleurer comme la Bégum
Je veux pleurer comme Soraya
Je veux pleurer comme Soraya
Je veux m'offrir ça
Je veux pleurer comme Soraya
J'veux pleurer sans économie
Qu'une fois au moins dans ma vie
Je puisse me dire que je n'compte pas
Je veux pleurer comme pour une fête
Où on fout en l'air ses richesses
Je veux pleurer comme une princesse
Je veux pleurer comme Margaret
Je veux pleurer comme Soraya
Je veux pleurer comme Soraya
Je veux m'offrir ça
Vous l'aurez compris, ça ne va pas très fort aujourd'hui. Impossible de mettre le doigt sur une raison ou un événement qui m'auraient mise dans cet état d'esprit.
Ca passera....