A quoi servait cet objet ?

Il mesure 34 cm de hauteur.

Bonne chance !

Petit rappel : Si vous connaissez la réponse d'entrée de jeu, merci de me la communiquer par e-mail (mariebruxelles@gmail.com).  Cela permettra aux autres visiteurs du blog de continuer à chercher.

A quoi servait cet objet ?

Il mesure 10 cm de diamètre.

Bonne chance !

A quoi servait cet objet ?

Bonne chance !

A quoi servait cet objet ?

Il mesure 9 cm de hauteur.

Bonne chance !

Pas de photo pour cette nouvelle énigme.  Juste un son :

De quoi s'agit-il et comment ce son est-il produit ?

Bonne chance !

Comme vous pourrez le constater ici, ici, ici, et ici, j'ai un faible pour les vieilles illustrations millésimées.

Lorsque j'ai rédigé ces articles, j'ai découvert Jessie Willcox Smith (1863-1935), une illustratrice américaine.  Ses oeuvres, qui mettent principalement en scène des enfants et/ou des mamans, souvent accompagnés d'animaux domestiques ou de la basse-cour, ont notamment fait les couvertures du magazine "Good Housekeeping" de 1917 à 1933 ou illustré des livres pour enfants.

Je les trouve ravissantes et, bien souvent aussi, touchantes.

En voici quelques unes :

A quoi servait cet objet ?

Il mesure 20 cm de hauteur et 17 cm de largeur.

Bonne chance !

A quoi servait cet objet ?

Il mesure 14 cm de hauteur.

Bonne chance !

A quoi servait cet objet ?

Il mesure 1m40 de hauteur.

Bonne chance !

Si Napoléon, en incluant dans son fameux Code des dispositions aussi défavorables aux femmes, s'est en réalité vengé des nombreuses infidélités de son épouse, Joséphine, et des humiliations qu'il a subies, on peut se demander ce qui a poussé Jean-Paul Sartre à écrire "L'enfer, c'est les autres". (*)

J'ai ma petite idée là-dessus : Sartre devait avoir des voisins bruyants !

Des voisins qui le réveillaient bien avant son heure en remplissant leur baignoire, en prenant leur bain, en vidant leur baignoire et, enfin, en rinçant leur baignoire, et ce tous les lundis et jeudis matins. 

Des voisins qui laissaient leurs gamins gueuler et faire des cavalcades dans les parties communes de leur immeuble et ce à toute heure du jour et de la nuit.

Des voisins qui n'étaient pas capables de fermer la porte d'entrée de leur immeuble sans la claquer violemment et qui claquaient tout aussi violemment la porte de leur logis.

Des voisins qui levaient leur volet à 8h30 le dimanche matin et qui écoutaient de la musique, sans égard pour leurs autres voisins qui auraient peut-être souhaité dormir encore un peu.

Une voisine frappadingue qui ameutait tout le quartier en hurlant à sa fenêtre comme si on cherchait à la tuer, la violer et la voler, tout à la fois, et dont les crises pouvaient se produire la nuit aussi bien que le jour.

Comme moi, quoi... (gros soupir)

(*) Pour savoir ce que Sartre a réellement voulu dire par "l'enfer, c'est les autres", cliquez ici.